Tuesday, March 31, 2009

Césairian section.


I

il me semble

le mouton dans un serpent

quand je lui vois

c’est comme un mille des plumes

[qui échappent d’un duvet des hallucinations]

ramassées par le vent

dans un déclivité 

d’un tapis perse

il est un cercle

dans un carré

dans les frissons d’une lac

et il est la voix de raison

[une voix délicieux des madeleines] 

même si la raison existe 

seulement au bout d’une bouteille verte

pleine des goûtes des pensées 

en feu par le lumière

des yeux ivres

[et bleus comme la saveur d’un orange]

qui répriment mes souffles

avec ses doigts duveteux

tout juste est-il

une muse absente

des idées malavisés

[mais doux comme le miel doré

d’un bourdon fripon]

qui déroulent sur les synapses

isolées par des songées visqueux

et violets

un des gens palpables.



II

Tu étais devenu pour moi comme 

Un vide en s’ouvrant :

Repoussant, comme l’espace entre 

deux exhalations des cils

le frisson de ta voix 

avec une couche de la moisissure douce

Je te regard comme à travers 

Un verre de l’eau

Et ton visage était une constellation

Des réverbères accusateurs qui 

se fondrent en des nuages des

sauterelles --

Sonner jaunes. 



III

Le battement des ailes 

des corbeaux grises

c’est le coeur d’homme catatonique.


le coeur d’homme catatonique

c’est les yeux d’une fille maudite.


les yeux d’une fille maudite:

l’amour de tous le monde.

3 comments:

Jeff Brennan said...

mind if I attempt a liberal translation?

Adrianne M. LaFrance said...

let me know how that turns out

Gregory Bem said...

Thanks for contributing!