I
il me semble
le mouton dans un serpent
quand je lui vois
c’est comme un mille des plumes
[qui échappent d’un duvet des hallucinations]
ramassées par le vent
dans un déclivité
d’un tapis perse
il est un cercle
dans un carré
dans les frissons d’une lac
et il est la voix de raison
[une voix délicieux des madeleines]
même si la raison existe
seulement au bout d’une bouteille verte
pleine des goûtes des pensées
en feu par le lumière
des yeux ivres
[et bleus comme la saveur d’un orange]
qui répriment mes souffles
avec ses doigts duveteux
tout juste est-il
une muse absente
des idées malavisés
[mais doux comme le miel doré
d’un bourdon fripon]
qui déroulent sur les synapses
isolées par des songées visqueux
et violets
un des gens palpables.
II
Tu étais devenu pour moi comme
Un vide en s’ouvrant :
Repoussant, comme l’espace entre
deux exhalations des cils
le frisson de ta voix
avec une couche de la moisissure douce
Je te regard comme à travers
Un verre de l’eau
Et ton visage était une constellation
Des réverbères accusateurs qui
se fondrent en des nuages des
sauterelles --
Sonner jaunes.
III
Le battement des ailes
des corbeaux grises
c’est le coeur d’homme catatonique.
le coeur d’homme catatonique
c’est les yeux d’une fille maudite.
les yeux d’une fille maudite:
l’amour de tous le monde.
3 comments:
mind if I attempt a liberal translation?
let me know how that turns out
Thanks for contributing!
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